Le choix fait dans l’Aube et à Genève a été de travailler sur un échantillon représentatif d’activités industrielles du territoire. Le travail sur cet échantillon permet de limiter le travail à fournir par l’expert qui, au départ, va créer l’information indirecte sur les synergies. La représentativité des entreprises possède ici un sens tout à fait qualitatif. L’idée est de travailler sur des entreprises qui pourraient servir d’exemple à d’autres exerçant le même type d’activité, mais également de rechercher une certaine variété dans les activités étudiées, afin d’augmenter le nombre de pistes de synergies. La figure précédente représente les grandes étapes de la méthodologie développée et utilisée par la société Systèmes Durables, notamment à Genève. Face à des situations aussi variées que le nombre de territoires sur lesquels une démarche de développement éco-industriel a un sens, cette méthodologie n’est ni « axiomatique », ni exclusive. Elle résulte seulement de réflexions empiriques à amender et à adapter à chaque situation.
Les phases 1, 2 et 3 ont pour objectifs :