Le président J. Zeming a déclaré en 2002, lors d’une réunion des pays membres du Fond Mondial pour l’Environnement que « C’est seulement en s’engageant sur la voie de l’économie circulaire, qui est basée sur l’utilisation la plus efficace des ressources et la protection de l’environnement que l’on peut réaliser le développement durable ».
Les entreprises sont considérées comme le vecteur principal du développement de l’économie circulaire. L’Etat possède un rôle de régulateur et de contrôleur. Il dispose ainsi de plusieurs outils : fiscalité pour jouer sur le prix des ressources (eau, énergie…), réglementation environnementale.
Cette stratégie s’appuie ainsi sur un arsenal législatif très complet :

Afin d’étudier les conditions de mise en œuvre des boucles de matières et d’énergie dans le contexte chinois, et de permettre au concept de se développer à l’avenir, un programme de 14 éco-parcs a été lancé.
D’autres pays d’Asie ont précédé ou suivi la Chine. En 2000, le Japon a promulgué une loi fondamentale pour promouvoir la société circulaire. En 2005, la Corée du Sud a lancé un vaste programme pour mettre en œuvre le concept de bouclage de flux dans ses plus grands parcs industriels.